
Selon cette rencontre, la Tunisie est aujourd’hui confrontée à des ressources d’hydrocarbures limitées et doit «renforcer la transition ciblant la promotion des énergies renouvelables à travers, notamment, de nouvelles réformes institutionnelles, réglementaires et fiscales». Cette orientation, indique-t-on, allègera le poids de la subvention accordée aux produits pétroliers et permettra à la Tunisie de répondre à la demande croissante en énergie qui atteindrait 19 millions de tonnes équivalent pétrole à l’horizon 2030.
Kamel Ben Nacer, ministre de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, explique que la hausse des prix de l’énergie alourdit le budget de l’Etat et que la subvention de l’énergie a atteint, en 2013, environ 3600 millions de dinars, soit 7 fois l’équivalent des investissements publics réalisés en une année.
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